Tu me manques, vivement dimanche soir.
Bisous

Ca faisait bien longtemps, hein, que je n'écrivais plus rien. Probablement à cause de "l'autre" blog.
Je ne devrais pas écrire maintenant, le temps gris, l'après-midi calme, exactement le genre de moment où j'écris un texte mélancolique. Le genre de truc qui te fait peur, tu sais ? ;-)
Là, je devrais attaquer la peinture de tes assiettes. Je vais peut-être m'y mettre, d'ailleurs. En même temps que je recopie des k7 sur le PC pour les récupérer.

Parfois je me sens enfant auprès de toi. Des fois non.
Des fois, je me trouve "donneur de leçons", un peu vieux con-je sais tout. A côté de toi, je me trouve plein de défauts.
Mais des fois, je fais mon labrador, cela m'est cher, et je ne m'en lasse pas.
Je suis heureux avec toi. Si tu en doutais encore.

Je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, JE T'EMBRASSE, JE T'EMBRASSE, JE T'EMBRASSE, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse, je t'embrasse.

Il fait pas bien chaud ce soir, une fois de plus.

J'arrête de bosser, il est 21h30, pfiouu..
Je ne t'envoie pas de SMS, tu m'appelleras ce soir, je sais.

Heureux.

Je t'embrasse

Et en plus, quand tu cliques dessus, tu le vois mieux. Ouais.
Je t'embrasse.

Parce que c'est vrai, si tu es fier de moi, y'a pas de raison...

Allo ? C'est pour dire que j'ai pas bonne mine.

Je suis tout vaseux. Mal dormi. Pas avant 2h00 du mat.
Ce matin, Arnaud est passé pour son carton d'invitation, je crois qu'il était content. Mais résultat, petite nuit. Et à petite nuit, petite mine.

Contrairement à ces derniers jours, je n'ai pas du tout le courage de bosser. Oui, ça t'arrive aussi, et il t'arrive, au bureau, de brasser de l'air et de ne rien faire, je sais. Moi, c'est pareil, et c'est aujourd'hui.
Mes crayons sont donc restés rangés. Petites mines aussi.

Par contre, probablement pour me donner le sentiment d'être "dans l'action", j'ai commandé aujourd'hui une tablette graphique. Pchiou, ca va être Star-Treck à la maison. Tu vas être fier de moi : à la Fnac, 369 euros. A force de chercher, je l'ai commandé sur le net pour 287 euros tout compris.
Tiens, elle est tellement belle, je met la photo.

Je les soupconne d'avoir mis la photo du modèle en dessus du mien. Mais bon, on va dire que celle-là, c'est la maman de la mienne. Super stylo magique super sensible. Tout miniaturisé. C'est pas la mine...

Je t'embrasse.

J'appelle, je démarche, je consulte, je cherche.
J'investi, je cours à droite, à gauche, je m'active.
J'ai retrouvé une énergie perdue depuis bien longtemps.
Comment ai-je pu ainsi renouer avec cette envie de créer, de dessiner, de vendre mon travail, alors que cela n'est pas, j'en ai conscience, une mince affaire ?

Car tu le sais, ce n'est pas une figure de style : j'ai vraiment retrouvé mon chemin.

Tu connais aussi la réponse.

Car comment aurais-je pu faire cela sans personne à qui le raconter, sans personne à rassurer? Sans personne qui serait fier de moi ? Et qui me dirait "Je suis content ! Je suis content!" quand j'obtiens un rendez-vous, quand je me bouge ? Enfin, sans toi?

Je t'embrasse